Le pot commun : une solution de collecte d’argent qui fait des heureux
Pendaison de crémaillère, enterrement de vie de jeune fille, achat de cadeau de mariage… tant d’évènement nécessitant un débours commun. Pour éviter les va-et-vient de collecte d’argent entre initiateur d’évènement, participant et bénéficiaire, le pot commun rend la vie de ces acteurs plus facile.
Le pot commun facilite la vie de l’organisateur de projet
Initier un projet pour une bonne cause est estimable, mais peut s’avérer fatigant jusqu’à la réalisation de l’évènement projeté. C’est en effet l’organisateur qui pense au détail dès le préparatif jusqu’à la dernière exécution avec ou sans aide.
Et tout commence dès le déplacement de la collecte des fonds indispensable. Si nombreux peuvent vouloir contribuer, les potentiels participants peuvent ne pas avoir de liquide au moment de la rencontre avec l’organisateur par exemple ou être à l’étranger. Et le résultat mène évidemment à demander à l’initiateur d’avancer la participation pour l’achat du cadeau ou pour les dépenses préparatoires. L’organisateur peut donc en fin de compte être amené à payer tout de sa poche ou la majorité et demander remboursement auprès des participants ensuite. Cela revient à une tâche complémentaire. Avec le pot commun, il n’a qu’à créer un évènement, inviter les participants et recevoir les contributions. Le tout se fait donc à distance sans déplacement.
Le pot commun facilite la vie des participants
Le potentiel participant au pot commun reçoit une invitation à cotiser pour la dépense de l’évènement ou du projet. Cette invitation donne les informations essentielles sur le projet, donc l’identité de l’initiateur et le nom de l’évènement et son objectif. Pour y participer, l’invité participe à distance en utilisant sa carte bancaire. Le Groupe Banque Populaire Caisse d’Épargne gère l’interface de paiement. Cela assure la sécurité de toute transaction réalisée. L’avantage pour le participant au pot commun est de pouvoir cotiser même loin et de vérifier l’avancement de la cagnotte. Pour un pot public, même un non-invité peut cotiser pour la cause.
Le gain du prestataire et de ses partenaires
Le pot commun est initié par la société Lakooz. Son objectif est de faciliter la vie de l’organisateur et des participants pour atteindre leur but : participer ensemble pour la réalisation d’un évènement ou d’un projet. En tant que société, le prestataire prélève une commission sur l’ensemble de la cagnotte. En tant que commission de fonctionnement du site, le pourcentage diminue au fur et à mesure de l’augmentation de la cagnotte. Ainsi pour un fonds inférieur à 2000 euros, le taux appliqué est de 3,5 %. Pour une cagnotte supérieure à cette somme, le taux est de 2,9 %. Si cette solution a l’avantage d’être simple, elle œuvre également dans la lutte contre le blanchiment d’argent et la fraude financière et le financement du terrorisme.
En effet, dès un projet de cagnotte supérieur à 1000 euros, l’organisateur doit pouvoir justifier son identité. A par cette collaboration étatique, le pot commun collabore également avec d’autres partenaires. Ces derniers offrent soit des services soit des articles promotionnels pour les utilisateurs du site. L’organisateur reste toutefois maître de ce qu’il veut faire des fonds, car il le mandataire de l’ensemble des cotisants.